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Communiquer sur les questions fréquentes (hydratation / alimentation) en soins palliatifs

<table id="refer1" cellpadding="5"><caption>Tableau 1 - Hydratation et nutrition en fin de vie</caption><tbody><tr><th colspan="2">Non-recours ou arr&ecirc;t de l'hydratation et de la nutrition artificielles en fin de vie<br />(<a href="/recommandations/fin-vie-arret-alimentation-proches" target="_blank" rel="noopener">conseils imprimables</a>)</th></tr><tr><td style="background-color: #ffe436; text-align: center;" colspan="2"><strong>Messages cl&eacute;s</strong></td></tr><tr><td style="text-align: center;" colspan="2"><ul><li style="text-align: left;"><strong>Le patient ne meurt pas de faim ou de soif : c'est parce qu'il meurt qu'il n'a plus faim ni soif.</strong></li><li style="text-align: left;">L'hydratation et la nutrition artificielles sont des techniques de maintien artificiel en vie qui peuvent relever de l'obstination d&eacute;raisonnable en fin de vie en prolongeant l'agonie.</li></ul></td></tr><tr><td id="refer1b" style="background-color: #bef2d3; text-align: center;" colspan="2"><strong>Hydratation en fin de vie</strong></td></tr><tr><td style="text-align: center;"><strong>Pourquoi faut-il &eacute;viter l'hydratation parent&eacute;rale en situation terminale ?</strong></td><td><ul><li>Les m&eacute;canismes physiopathologiques de la fin de vie favorisent la r&eacute;tention d'eau (cr&eacute;ation d'un troisi&egrave;me secteur).</li><li><strong>Le risque principal est l'encombrement bronchique et la d&eacute;tresse respiratoire.</strong></li><li>Les &oelig;d&egrave;mes diffus et l'anasarque sont &eacute;galement pourvoyeurs d'inconfort.</li><li>L'&oelig;d&egrave;me diminue l'absorption des perfusions sous-cutan&eacute;es si elles sont n&eacute;cessaires.</li></ul></td></tr><tr><td style="text-align: center;"><strong>Le patient risque-t-il d'avoir soif ?</strong></td><td><ul><li>Dans la majorit&eacute; des cas, il n'existe pas de sensation de soif en fin de vie.</li><li>Si le patient d&eacute;crit une sensation de soif, elle est en r&eacute;alit&eacute; li&eacute;e &agrave; la s&eacute;cheresse buccale :<ul><li>la r&eacute;alisation de soins de bouche est alors essentielle (voir <a href="https://www.ordotype.fr/pathologies/soins-de-bouche-soins-palliatifs" target="_blank" rel="noopener">fiche</a>),</li><li>une &eacute;ventuelle oxyg&eacute;noth&eacute;rapie, si elle n'am&eacute;liore pas la dyspn&eacute;e, doit &ecirc;tre arr&ecirc;t&eacute;e pour &eacute;viter de majorer la s&eacute;cheresse buccale (voir <a href="https://www.ordotype.fr/pathologies/symptomes-respiratoires-soins-palliatifs" target="_blank" rel="noopener">fiche</a>).</li></ul></li></ul></td></tr><tr><td style="text-align: center;"><strong>Quels sont les b&eacute;n&eacute;fices secondaires de la d&eacute;shydratation ?</strong></td><td><ul><li>La d&eacute;shydratation entra&icirc;ne une s&eacute;cr&eacute;tion d'opio&iuml;des c&eacute;r&eacute;braux, ce qui diminue la douleur.</li><li>La r&eacute;duction du volume urinaire permet de limiter des mobilisations parfois inconfortables.</li><li>La diminution des &oelig;d&egrave;mes p&eacute;ritumoraux peut permettre une diminution de la douleur.</li></ul></td></tr><tr><td style="background-color: #bef2d3; text-align: center;" colspan="2"><strong>Nutrition en fin de vie</strong></td></tr><tr><td style="text-align: center;"><strong>Pourquoi faut-il limiter la nutrition en fin de vie ?</strong></td><td><ul><li>En fin de vie, la nutrition doit &ecirc;tre adapt&eacute;e aux envies du patient, on parle d'alimentation "plaisir".</li><li>Les risques d'inconfort li&eacute;s &agrave; l'alimentation sont principalement :<ul><li>naus&eacute;es/vomissements/douleurs abdominales en cas d'occlusion/tumeur digestive,</li><li>pneumopathie d'inhalation et d&eacute;tresse respiratoire en cas de troubles de la d&eacute;glutition.</li></ul></li><li>Les techniques de nutrition artificielle peuvent &ecirc;tre source d'inconfort en fin de vie :<ul><li>douleurs abdominales,</li><li>pneumopathies d'inhalation,</li><li>majoration des apports liquidiens (voir <a href="#refer1b" target="_blank" rel="noopener">ci-avant</a>),</li><li>inconfort li&eacute; au mat&eacute;riel,</li><li>perturbation du transit intestinal.</li></ul></li><li>En situation terminale, le maintien d'une nutrition artificielle concourt &agrave; prolonger la phase agonique.</li></ul></td></tr><tr><td style="text-align: center;"><strong>Le patient risque-t-il d'avoir faim ?</strong></td><td><ul><li>Non, la sensation de faim dispara&icirc;t en fin de vie.</li><li>Il existe m&ecirc;me dans beaucoup de situations un d&eacute;go&ucirc;t de la nourriture en phase terminale.</li><li>Le je&ucirc;ne entra&icirc;ne une production de corps c&eacute;toniques qui a un effet anorexique central.</li></ul></td></tr><tr><td style="text-align: center;"><strong>Quels sont les b&eacute;n&eacute;fices secondaires de l'arr&ecirc;t de la nutrition ?</strong></td><td><p>Le je&ucirc;ne entra&icirc;ne une s&eacute;cr&eacute;tion d'opio&iuml;des c&eacute;r&eacute;braux, ce qui diminue la douleur.</p></td></tr></tbody></table><p>&nbsp;</p><table id="refer2" cellpadding="5"><caption>Tableau 2 - Techniques de communication</caption><tbody><tr><th colspan="2">&Eacute;thique de communication<br />(<a title="(aide &agrave; la r&eacute;ponse aux questions les plus fr&eacute;quentes)" href="/liens-utiles/fin-de-vie-soins-palliatifs-refus-arret-de-traitements-obstination-deraisonnable" target="_blank" rel="noopener">R&eacute;ponse aux questions les plus fr&eacute;quentes</a>)</th></tr><tr><td style="text-align: center;"><strong>S'appuyer sur le malade</strong></td><td><ul><li>Rappel de la loi Claeys Leonetti.</li><li>Directives anticip&eacute;es si elles ont &eacute;t&eacute; r&eacute;dig&eacute;es :<ul><li><a href="https://www.ordotype.fr/liens-utiles/les-directives-anticipees-guide-pour-le-grand-public" target="_blank" rel="noopener">guide de r&eacute;daction</a>,</li><li><a href="https://www.ordotype.fr/liens-utiles/directives-anticipees">mod&egrave;le</a>.</li></ul></li><li>Mettre en &eacute;vidence les &eacute;l&eacute;ments cliniques allant dans le sens de la d&eacute;cision.</li></ul></td></tr><tr><td style="text-align: center;"><strong>Arr&ecirc;t de l'alimentation et de l'hydratation ne signifie pas arr&ecirc;t des soins</strong></td><td><ul><li>Explication des soins de bouche et proposition d'int&eacute;grer les proches &agrave; leur r&eacute;alisation (voir <a href="https://www.ordotype.fr/pathologies/soins-de-bouche-soins-palliatifs" target="_blank" rel="noopener">fiche</a>).</li><li>Souligner que la r&eacute;alisation des soins de bouche demande plus de temps que la pose d'une perfusion parent&eacute;rale.</li></ul></td></tr><tr><td style="text-align: center;"><strong>Ne pas faire peser le poids de la d&eacute;cision sur les proches</strong></td><td><ul><li>Rappeler le r&ocirc;le consultatif des proches afin de porter la parole du patient.</li><li>Mais rappeler le r&ocirc;le d&eacute;cisionnel du m&eacute;decin.</li></ul></td></tr><tr><td style="text-align: center;"><strong>Anticiper</strong></td><td><ul><li>Rep&eacute;rer les familles pour qui l'alimentation/l'hydratation est un moyen d'entrer en relation avec l'autre afin de les pr&eacute;parer progressivement &agrave; l'arr&ecirc;t.</li><li>Proposer en amont d'autres moyens d'entrer en interaction (lecture, musique, etc.).</li></ul></td></tr><tr><td style="text-align: center;"><strong>Contourner les projections des proches</strong></td><td><p>Si le proche se projette &agrave; la place du patient ("&agrave; sa place, j'aurais faim et soif"), rappeler que la personne en fin de vie n'a pas les m&ecirc;mes ressentis qu'une personne non malade et qu'il est impossible de transposer son propre v&eacute;cu sur celui de l'autre.</p></td></tr><tr><td style="text-align: center;"><strong>En cas de prescription de perfusion sous cutan&eacute;e pour &laquo; d&eacute;sangoisser &raquo; la famille ou diminuer la culpabilit&eacute; de l&rsquo;&eacute;quipe (m&eacute;decin compris), des limites s&rsquo;imposent</strong></td><td><ul><li>L'arr&ecirc;t de la perfusion doit &ecirc;tre la priorit&eacute; en cas d'apparition d'&oelig;d&egrave;me, d'encombrement ou de douleur au point de ponction.</li><li>La contention est inenvisageable en fin de vie afin de maintenir une perfusion si le patient l'arrache.</li></ul></td></tr></tbody></table>‍

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{{Nom de la note}}

Créé le
{{08/11/2022}}

{{Text de la note personnalisée ici.}}



















.

<table cellpadding="5"><tbody><tr><th colspan="2">Prescription d'IPP en cas de traitement par AINS</th></tr><tr><td style="text-align: center;"><strong>Indications</strong></td><td><ul><li>Co-prescription d’<abbr data-tooltip="Inhibiteurs de la pompe à proton ">IPP</abbr>&nbsp;et d’<abbr data-tooltip="Anti-inflammatoires non stéroïdiens">AINS</abbr>&nbsp;en prévention de l'<abbr data-tooltip="Ulcère gastroduodénal">UGD</abbr>&nbsp;<strong>uniquement si</strong>&nbsp;:<ul><li>personnes&nbsp;≥ 65 ans, ou</li><li>antécédent d’ulcère gastrique ou duodénal (dans ce cas une infection à&nbsp;<em>H. pylori</em>&nbsp;doit être recherchée et traitée, voir&nbsp;<a href="/pathologies/h-pylori" target="_blank" rel="noopener">fiche</a>), ou</li><li>association de l'<abbr data-tooltip="Anti-inflammatoires non stéroïdiens">AINS</abbr>&nbsp;à&nbsp;(pour rappel : ces associations doivent de principe être évitées) :<ul><li>un antiagrégant plaquettaire (notamment l’aspirine à faible dose et le clopidogrel), ou</li><li>un corticoïde, ou</li><li>un anticoagulant.</li></ul></li></ul></li><li><strong>Les&nbsp;<abbr data-tooltip="Inhibiteurs de la pompe à proton ">IPP</abbr>&nbsp;doivent être interrompus en même temps que le traitement par&nbsp;<abbr data-tooltip="Anti-inflammatoires non stéroïdiens">AINS</abbr></strong>.</li><li><abbr data-tooltip="Inhibiteurs de la pompe à proton ">IPP</abbr>&nbsp;inutiles pour prévenir les complications digestives des antiagrégants plaquettaires/anticoagulants (sans&nbsp;<abbr data-tooltip="Anti-inflammatoires non stéroïdiens">AINS</abbr>) chez les patients ayant un faible risque de complication (pas d’antécédents d’<abbr data-tooltip="Ulcère gastroduodénal">UGD</abbr>&nbsp;ou d’hémorragie digestive haute notamment).</li></ul></td></tr><tr><td style="text-align: center;"><strong>Ordonnances<br>(dose préventive)</strong></td><td><ul><li><a href="/ordonnances-types/ipp-preventif-adulte-lansoprazol" target="_blank" rel="noopener">Lansoprazole 15 mg</a></li><li><a href="/ordonnances-types/ipp-preventif-adulte-esomeprazole" target="_blank" rel="noopener">Ésoméprazole 20 mg</a></li><li><a href="/ordonnances-types/ipp-preventif-adulte-omeprazole" target="_blank" rel="noopener">Oméprazole 20 mg </a></li><li><a href="/ordonnances-types/ipp-preventif-adulte-pantoprazole" target="_blank" rel="noopener">Pantoprazole 20 mg</a></li><li><a href="/ordonnances-types/ipp-preventif-adulte-rabeprazole" target="_blank" rel="noopener">Rabéprazole 10 mg</a></li></ul></td></tr></tbody></table>

<table cellpadding="5">
<tbody>
<tr>
<th colspan="2">Surveillance des plaquettes sous h&eacute;parine</th>
</tr>
<tr>
<td style="text-align: center;"><strong>Indications</strong></td>
<td>
<ul>
<li><strong>Surveillance plaquettaire syst&eacute;matique </strong>des plaquettes en cas de situation &agrave; risque interm&eacute;diaire ou &eacute;lev&eacute; de thrombop&eacute;nie induite par l'h&eacute;parine (TIH) :
<ul>
<li>risque interm&eacute;diaire :
<ul>
<li>patient pr&eacute;sentant un cancer.</li>
<li>traitement par HBPM &agrave; dose prophylactique ou curative et <strong>contexte chirurgical (dont c&eacute;sarienne) ou traumatique </strong>(immobilisation...).</li>
<li>traitement par HNF &agrave; dose prophylactique.</li>
<li>ant&eacute;c&eacute;dents d&rsquo;exposition &agrave; une HNF ou aux HBPM dans les 6 derniers mois (en cas de r&eacute;introduction apr&egrave;s une exposition r&eacute;cente, la chute des plaquettes peut &ecirc;tre tr&egrave;s rapide).</li>
</ul>
</li>
<li>risque &eacute;lev&eacute; :
<ul>
<li>traitement par HNF et contexte de chirurgie (dont c&eacute;sarienne).</li>
<li>traitement par HNF &agrave; dose curative.</li>
<li>circulation extracorporelle.</li>
</ul>
</li>
</ul>
</li>
<li>Un traitement par HBPM &agrave; dose prophylactique ou curative ne n&eacute;cessite pas de surveillance syst&eacute;matique des plaquettes en contexte m&eacute;dical (sauf cancer) ou obst&eacute;trical (sauf chirurgie, dont c&eacute;sarienne) ou en cas de traumatisme mineur.</li>
</ul>
</td>
</tr>
<tr>
<td style="text-align: center;"><strong>Modalit&eacute;s</strong></td>
<td>
<ul>
<li>Le rythme de surveillance des plaquettes n'est pas consensuel. La proposition retenue ici est celle des recommandations de l'ANSM (2011).</li>
<li>Situations n&eacute;cessitant une surveillance plaquettaire syst&eacute;matique (voir ci-avant) : dosage plaquettaire :
<ul>
<li>avant l'introduction du traitement ou au plus tard 24h apr&egrave;s son introduction,</li>
<li>puis 2 fois par semaine pendant 1 mois,</li>
<li>puis 1 fois par semaine jusqu'&agrave; l'arr&ecirc;t du traitement (la n&eacute;cessit&eacute; de poursuivre la surveillance au-del&agrave; de 4-6 semaines n'est pas consensuelle),</li>
<li>et &agrave; chaque fois que n&eacute;cessaire en cas de signes &eacute;vocateurs de TIH :
<ul>
<li>aggravation ou nouvelle suspicion d&rsquo;&eacute;v&eacute;nements thrombo-emboliques veineux et/ou art&eacute;riels,</li>
<li>l&eacute;sion cutan&eacute;e douloureuse au point d&rsquo;injection sous-cutan&eacute;e,</li>
<li>manifestation syst&eacute;mique anaphylacto&iuml;de.</li>
</ul>
</li>
</ul>
</li>
<li>Situation ne n&eacute;cessitant pas de surveillance plaquettaire syst&eacute;matique : dosage plaquettaire :
<ul>
<li>avant l'introduction du traitement ou au plus tard 24h apr&egrave;s son introduction,</li>
<li>&agrave; chaque fois que n&eacute;cessaire en cas de signes &eacute;vocateurs de TIH :
<ul>
<li>aggravation ou nouvelle suspicion d&rsquo;&eacute;v&eacute;nements thrombo-emboliques veineux et/ou art&eacute;riels,</li>
<li>l&eacute;sion cutan&eacute;e douloureuse ou n&eacute;crose au point d&rsquo;injection sous-cutan&eacute;e,</li>
<li>manifestation syst&eacute;mique anaphylacto&iuml;de lors de l'injection.</li>
</ul>
</li>
</ul>
</li>
</ul>
</td>
</tr>
<tr>
<td style="text-align: center;"><strong>Interpr&eacute;tation</strong></td>
<td>
<p>Risque de TIH &eacute;valu&eacute; par le score des 4T (<a href="/liens-utiles/score-tih" target="_blank" rel="noopener">calculateur</a>) :</p>
<ul>
<li>0 &agrave; 3 : risque faible</li>
<li>4 ou 5 : risque mod&eacute;r&eacute;</li>
<li>6 &agrave; 8 : risque &eacute;lev&eacute;</li>
</ul>
<p>Toute suspicion de TIH ou score 4T &ge; 4 doit conduire &agrave; un arr&ecirc;t imm&eacute;diat du traitement par HBPM et &agrave; solliciter un avis sp&eacute;cialis&eacute; en urgence pour introduire un relais par anticoagulant non h&eacute;parinique et poursuivre les explorations par un dosage des anticorps anti-PF4.</p>
</td>
</tr>
</tbody>
</table>